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Précision :
Je ne lis pas de manuscrit en dehors de mes fonctions de transmission de la création littéraire, faute de temps. Il est donc inutile de me proposer de vous lire via cette interface.
J’en suis navrée, mais lire, commenter, conseiller… cela prend du temps, c’est un métier. N’hésitez pas à vous adresser, si vous ressentez le besoin d’être accompagné·e et selon ce que vous recherchez :
- à des formations en création littéraire si vous menez des études, vous apprêtez à le faire ou à les reprendre : DU ou Master, il en existe plusieurs, avec des orientations différentes, donc renseignez-vous en amont voire allez aux journées portes ouvertes pour poser des questions aux enseignant·e·s et étudiant·e·s de la formation (l’inscription n’est pas automatique, il y a une sélection sur dossier) ;
- à des dispositifs d’accompagnement dont vous aurez vérifié en amont le sérieux (par exemple : est-ce que des auteur·ice·s que vous appréciez y travaillent ? Ou quels sont les commentaires des personnes qui ont déjà fait appel au dispositif ? Est-ce qu’il existe depuis suffisamment de temps pour avoir du recul quant à la qualité de l’accompagnement proposé ? Est-ce que les tarifs ne sont pas totalement aberrants ?…) Je suis loin de connaître l’intégralité de ces dispositifs mais pour ma part, j’ai déjà travaillé pour Les Mots et il y a beaucoup de confrères et consœurs que j’apprécie qui y interviennent régulièrement ;
- à un agent littéraire : idem, c’est une histoire de rencontre mutuelle, d’univers qui se répondent, de compatibilité. Le/la trouver peut prendre du temps. De mon point de vue peut-être le recours à l’agent littéraire est-il plus adapté à des formes qui sont susceptibles d’avoir un certain potentiel commercial et/ou si on décide de se consacrer à 100% à l’écriture. (Si on écrit un recueil de poèmes ou de nouvelles expérimentales tous les quatre ans et/ou qu’on n’est pas trop sûr de continuer parce qu’on mène une autre carrière… il semble compliqué d’être suivi par une agence…)
Cela dépend vraiment de vos objectifs, de ce que vous souhaitez développer, de la façon dont vous envisagez votre activité littéraire.
Et si vous vous interrogez simplement sur les éditeurs auxquels envoyer votre manuscrit, quelques règles :
- évidemment vérifiez qu’il s’agit bien d’un éditeur, un vrai : si on vous demande de l’argent sous quelque forme que ce soit pour publier votre texte, il s’agit de compte d’auteur, donc ce ne sera pas, par définition, considéré comme une publication à compte d’éditeur ! (et il y a de vrais margoulins dans le secteur, prenez garde) ;
- faites confiance à vos goûts de lecteur·ice et adressez-vous à des maisons d’édition qui publient des livres dont vous vous sentez proche, n’envoyez pas de manuscrit au hasard, ça ne sert à rien, et ce n’est pas bien considérer votre texte : vous y avez consacré du temps, mis beaucoup de vous-même : ne l’envoyez pas chez des inconnus !
- vérifiez sur le site des éditeurs s’ils souhaitent recevoir le manuscrit sous forme papier ou numérique ;
- n’envoyez pas 30 manuscrits d’un coup, ça n’a aucun sens et ce serait mauvais pour vos nerfs… Opérez plutôt par salves de 4 maximum en commençant par vos maisons rêvées ;
- soyez patient·e, les délais peuvent être longs.
Je vous souhaite le meilleur !